Éditorial

Le mot du Président de la FFST

Le sport est un phénomène social. Il crée des liens et permet à chacun de se dépasser. La presse, la radio, la télévision mettent en valeur les manifestations nationales ou internationales. Notre Fédération a la volonté de conserver la pureté originelle du sport, loin du « vedettariat » et des dérives.Nous devons nous recentrer sur une mission claire: mettre le sport à la disposition du plus grand nombre dans un but noble: le renforcement, la préservation de la santé de tous et la convivialité.

Nous reconnaissons communément dans la pratique d’une activité physique bon nombre de bienfaits. En effet, le sport développe l’énergie, discipline les volontés, assouplit les muscles pour apporter aux jeunes et moins jeunes une hygiène de vie salutaire.

C’est pourquoi à la FFST, nous gardons toujours en mémoire cette volonté qui nous anime de faire de la pratique sportive un vecteur de bien-être pour tous.

Mais le sport représente bien plus qu’un facteur de santé publique car il est également un creuset pour faciliter les échanges interculturels, les relations interpersonnelles et les rencontres interclasses.

C’est dans les clubs que se jouent les matchs de la cohésion sociale, où tous, tissent des liens qui les rendent plus forts, plus efficaces et plus généreux.

La FFST accompagne ces hommes et femmes de bonne volonté qui donnent de leur temps et de leurs compétences pour construire une fédération multisports qui avance.

Mettre le sport au service de tous, hommes, femmes, enfants, handicapés. Telle une ligne directrice suivie par notre fédération qui s’efforce avec l’ensemble des adhérents, des responsables sportifs et à travers une kyrielle de disciplines, de donner un sens à leurs pratiques dans une diversité qui nous enrichit tous.

N’oublions pas enfin que le sport n’est pas une fin en soi, il ne représente que le moyen de nous constituer un capital de vie.

Aussi je remercie celles et ceux qui s’associent à notre action pour proposer aux quatre coins de notre territoire l’encadrement nécessaire aux licenciés sans prôner l’élitisme mais en accordant à chacun les moyens de s’épanouir.

Georges MOJESCIK